Panique au hangar 115 (Episode 2)

Oubliant quelque peu qu’ils étaient en mission, le groupe profite de sa soirée pour s’éparpiller. Rob, parcours les salles de jeu du casino Blue Star à la recherche de quelques poches à vider. Walrotta s’absente pensant qu’il pourrait profiter de la soirée pour accomplir un petit contrat. Il est missionné par deux inconnus pour aller récupérer un sac laissé à l’abandon dans un restaurant. Finalement, sur place il tombera sur deux mafieux en possession de l’objet et jugera plus prudent de repartir d’où il venait.

Grandel et Kim retrouvent Spenkler un solitaire à qui Grandel avait proposé un poste au sein de l’équipe il y a quelques jours. En fin de soirée tout le monde se retrouve autour du vaisseau d’Askar Liddo stationné au pont 32 du spatioport. Seuls, Rob, Kim et Walrotta parviennent à se glisser discrétement à l’intérieur. Ils y récupéreront un plan de vol pour l’épave du ZEMEDIS 25 ainsi que deux clichés de la femme qui accompagnait Askar. En zoomant, il apparait que son tatouage représente les plans d’un site. Rob ne résistera pas à l’envie de prendre les commandes et les trois compères fileront à bord du vaisseau qu’ils revendront rapidement dès le lendemain sur une petite station de contrebande.

Grandel et Spenkler se rendent seuls au rendez-vous avec Sulann Faadir, leur employeur du moment. Le rapport de Grandel est quelque peu circonspect. Il omet de nombreux détails quant à leur investigation ce qui semble un peu troubler Sulann qui consent néanmoins à le rétribuer de quelques crédits.
Une fois la troupe réunie à nouveau le commandant tente d’imposer son organisation de l’équipage en affectant à chaque homme un poste et une rétribution en conséquence. Mais son point de vue passe mal, notamment auprès de certains de ses hommes qui voient d’un oeil de plus en mauvais la main mise du commandant sur l’équipage. Son leadership est clairement mis en cause et il doit consentir à quelques arrangements pour ne pas risquer une mutinerie.

Les hommes du REVENGER-01 décident de prendre une bonne nuit de repos avant de se mettre en route pour l’épave du ZEMEDIS 25…

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Quand on tire, on raconte pas sa vie.

Tuco